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La cour des compte allume la DGFIP dans les...

La cour des compte allume la DGFIP dans les grandes largeurs sur les applicatifs liés à GMBI. Le rapport est ici
Vous trouverez en pièce jointe

  • Un article du parisien (on aurait pu mettre aussi le Monde)
  • La lettre d’alerte adresse par le congés CGT Finances Publiques c’est à dire par l’ensemble des sections départementales à nos ministres avant le chaos de juillet 2023

On ne vous a pas mis le droit d’alerte déposé au niveau national en 04/2023 sur le même sujet ou les extraits de nos diverses déclarations liminaires qui alertaient la direction locale bien avant juin 2023. Et pourtant, nous pouvons affirmer que le pire est à venir en termes de perte budgétaire avec la gestion des taxes d’urbanisme compensé par l’état jusqu’en décembre 2025.
Pour GMBI, les collectivités ont reçu certes 1,3 milliard d’€ en trop mais l’État ne va pas se gêner pour les ponctionner.

Pa contre, Le bousin Gestloc (SURF, TU, et evaloc) dysfonctionne (depuis septembre 2022) pour les constructions neuves construites dans le cadre des copropriétés en lots ou des lotissements (effectués par un promoteur).

On se demande m^me si un jour la DGFiP sera en capacité d’envoyer les fameux titres de paiement des taxes d’urbanisme aux simples redevables (avec un taux d’erreur acceptable). Autant dire qu’il y a beaucoup de trous dans la raquette et nous ne voyons pas tous puisque personne au niveau local dispose d’outil de suivi (sic) pour ces applicatifs

Pour résumer une partie non négligeable des taxes d’urbanismes ne seraient tout pas simplement émises et malheureusement ce sont sont les importantes car les promoteurs, les lotisseurs ne seraient à première vue ni relancés et taxés. L’État compense et verse en amont les taxes d’urbanisme jusqu’en décembre 2025 aux collectivités locales ce qui explique le calme relatif sur le sujet. Le compte à rebours a commencé et déjà un sénateur à flairer l’entourloupe. Sa question est ici. Ce monsieur est comme nous, il n’a pas les chiffres mais ceux de 2023 sont plus que préoccupants. Nous allons intervenir à nouveau par écrit sur cette problématique lors de la prochaine FS (ex CHS-CT) pour désengager la responsabilité des agents du SDIF sur des erreurs qui se cumulent depuis plusieurs mois.
Il est hors de question que les agents de base y compris les chefs de services au niveau départemental prennent une balle "perdue" alors que depuis deux ans on explique qu’on va dans le mur.
Sur ce dossier, la Direction Générale et son ministre ont littéralement ignoré toutes les mises en garde

Article publié le 24 janvier 2025.


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